Lettre ouverte à Mme Béatrice Delvaux

Lorsque le 16 mars dernier, j’ai lu dans votre canard le Soir un texte qui se situe entre opinion et rigole, une odeur m’a envahi. Un spray a suffi pour m’en débarrasser et votre canard a servi d’accueil aux pelures de pommes de terre que ma femme a gratinées ce jour-là. Certes, ce sont des actes traditionnels, je dirais même des rituels pour chasser les mauvais esprits, en l’occurrence celui qui règne rue Royale je ne sais pas quel numéro.

Incident clos. Mais voilà que plus loin dans cette même rue, M. B. De Wever dépose une plainte contre vous et la boule qui roule jusqu’à Bruxelles, roule. Ma boule, vous dites ? Mahboul, oui.
Vous m’avez incité, par votre réponse diffusée à la radio één, à rêver. À m’imaginer qui vous êtes. À m’imaginer comment vous êtes fringuée. Sans doute d’une fausse jupe portée au dessus d’un vrai jeans. Et puis, la lumière est tombée ! "Dekrok, dekmantel" ! il s’agit d’une couverture. Votre canard sème la terreur en Belgique. Qui dit terreur, dit Mossad. Êtes-vous donc manipulée, ou, qui sait, payée par le Mossad, dont le quartier général européen se trouve un peu plus loin à Bruxelles ? Sous couverture d’un canard, d’une fausse jupe ?

Cet angle permettrait de mieux comprendre votre ‘opinion’, qui correspond à 120% à celle de l’organisation que vous couvrez et qui vous couvre. L’un croit que Jérusalem est la capitale de son pays, vous croyez sans doute que le nord n’a pas droit à sa capitale dans notre Bruxelles. Et vous avez le toupet de dire que ce texte traite de la démocratie, sans doute dans le sens du FDF, qui n'est pas démocrate non plus et fort francochon.

En effet, nous, les francophones belges et autres, mais situés en Belgique, avons donné au Nord du pays le droit de s’émanciper et donc, d’utiliser les mêmes méthodes contre nous que celles que nous utilisions contre eux. Talion ? Ce terme a été soufflé, voir plus loin. Car c’est cela, la réforme de l’état. Il ne suffit pas de jouer l’innocence assassinée pour leur faire le coup du nez (qui saigne). Comme vous êtes journaliste et donc bien placée pour le savoir, je ne crois pas en ce texte publié au Soir du 16 mars dernier. Ni en sa signature, qui ressemble à celle d’un écrivain fantôme comme on dit si bien en anglais. Journaliste ? Essayiste ? Marthoz ?

Il s’agit de plus. Plus est en vous : le Mossad, à savoir le département de désinformation de cette organisation, voire organisme, infecte bien sûr. Sachez, madame, que la pension n’est pas un droit que votre patron secret vous réserve. Au moment où vous aurez réussi votre mission secrète, vous serez simplement éliminée. Et inutile alors de faire porter le chapeau à et par M. B. De Wever.
En attendant, permettez-moi, Madame? de vous souhaiter une bonne fin de journée.

Attention : il pourrait s’agir ici d’une fiction. Marthoz ? Fiction ? Mossad ? Fiction ? eh oui. Et Delvaux alors ? Qui sait ? Le Soir = la RTBf ? Qui sait ? attention : une fiction n’est pas forcément une blague.

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