Deux personnes quelque peu humaines en perspective

Rarement, il regarde au-dessus de l’épaule.
En effet, le plus souvent, il voit les choses arriver.

Pratiquement personne ne le croit.

Tous, après coup, doivent lui donner raison. Cela lui fait une belle jambe.
Toujours trop tard.
C’est pourquoi, de plus en plus, il se tait.

Il vous vient d’ailleurs et son espace est le même que le vôtre.



Et elle alors? Qui me pose la question? Il ou elle a raison.
Très souvent, de nuit, elle voit la lumière. Impossible!

Le plus souvent, elle entend un chat ronronner et quelques fois, une musique.

La plupart du temps, elle cherche à transposer la musique et le ronronnement en couleurs et contrastes, c’est-à-dire en lumière. Pas en image! Elle n’est pas possible! Elle finira par nous rendre tous fous!

Pour elle, le danger vient de ce que, de temps à autre, elle regarde au-dessus de son épaule.

Elle voudrait tant gagner votre espace. Elle vous vient d’ailleurs et son espace est le même que le vôtre.

[Zelden kijkt hij over zijn schouder.
Immers, meestal ziet hij dingen aankomen.

Haast niemand gelooft hem.
Nadien moeten ze hem allemaal gelijk gegeven. Dat helpt hem geen moer vooruit. Altijd te laat.

Daarom zwijgt hij hoe langer hoe meer.
Trouwens, hij komt van elders en zijn ruimte is de uwe.

En zij dan? Wie stelt die vraag? Hij of zij heeft gelijk.
Vaak, meestal 's nachts, ziet ze licht. Onmogelijk!

Meestal hoort ze een poes spinnen en een enkele keer hoort ze muziek. Meestal probeert ze muziek en gespin om te zetten in kleuren en contrasten, in licht dus. Niet in beeld! Zij is onmogelijk. Ze maakt ons nog allemaal gek!

Voor haar loert het gevaar over de schouder waar ze af en toe over kijkt.

Ze zou zo graag uw ruimte veroveren. Trouwens, zij komt van elders en haar ruimte is de uwe.
]

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