Égalité des langues, fraternité voire maternité des langues, liberté de lalangue.Et de la musique, après tout (essayez les barres vidéo)
Bonsoir, amateurs de vins français
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Au premier festival international à Bruxelles de la poésie sous-terraine, un moment fort dada était un essai de vin français (cliquez sur vin et vous verrez)
OK, la route pourrait sembler sans issue, une rue morte dans une nature vivante. Je menais bon train bonne route, ne pensant jamais à freiner, à aucun moment, à aucun endroit. D’ailleurs, j’étais trop loin. Loin de l’homme à la guitare bleue. Loin du centre de toute ville. Trop loin pour déjà penser au retour, ou pas encore assez loin. Qu’il est fort, le cycliste insolitaire, tout droit, le vent en poupe. J’étais surtout trop loin dans le développement d’un plan d’une petite guerre urbaine, non à la Louis-Paul Boon. Il fallait tout juste trouver une cause. J’étais entouré de centaines d’autres cyclistes, le plan avait surgi quasi automatiquement. J’en essayais un : un homme âgé de plus de soixante ans, en tenue de cycliste de sport et assis sur un vélo de course, me dépassa. Je pris une vitesse supérieure, me servant de lui comme un corridor dans l’air. Il m’a toléré à peine, pendant un bon kilomètre, puis il démarra, sans avoir échangé ne fût-ce qu’un mot. Il m’échappa. Je me
(écrit dans une extase organique) Le grattage se distingue du gratteur. Pensez au gratte-ciel. Je préfère ne pas y penser. La romance liquide devient-elle potable ? L'eau coule dans un ruisseau. L'estuaire regarde fixement devant lui. Tout est libre jusqu'à ce que la durée prenne le dessus. Nous ne le méritons pas mais nous l'obtenons. Un nuage perd son pantalon. Le grattage détache la croûte du cul du nuage. Il n'y a pas grand-chose d'autre à ramasser. Nous tenons grâce au jardin. Et notre humeur. Si on les laisse se gratter, le ciel s'effondrera. Sur le toit du gratte-ciel pend maintenant le pantalon du nuage, désespérément. Ça profite, ça nuit, ça touche la corde de basse. Le son prend le dessus.
Tel est le titre d'un nouveau recueil de poèmes préparé par notre collaborateur Marc Tiefenthal. Les Russes sont nombreux à visiter le présent blog, bien qu'ils se manifestent moins ces derniers temps, trop occupés à harceler les ordinateurs ailleurs. Amen, soit. Enfin, ce recueil est comme pratiquement toute l'oeuvre dudit poète bilingue Néerlandais - Français. Mais avec l'aide d'un ami directeur artistique, il n'est pas exclu que ce coup-ci, le recueil soit également publié en Français. Vous trouverez en temps opportun des nouvelles au site web concerné. Allez voir et goûter cette poésie. Et pour les Russes la même chose En avant-première et à titre d'avant-goût: Parfois plusieurs paroles ne suffissent pas « Elle s’est engouffrée à l’intérieur de la voiture sans prendre le temps de me serrer la main » (Henning Mankell, les bottes suédoises) Je ne suis pas resté bouche bée devant ce gouffre. Ayant gardé la main dans ce haut jeu festin
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