Madame la ministre
Madame la ministre,
Vous occupez bel et bien et depuis quelque temps le poste de ministre des Affaires étrangères en France. Si vous n'aviez pas fait votre intervention (voir infra), je ne l'aurais pas remarqué. Pour moi, c'est Kouchner et puis tout. Si d'un côté de la frontière linguistique dans mon pays vous êtes une verte, de l'autre côté vous êtes une bleue. Rien avoir avec écolo ni avec les républicains. Tout avec la langue, voire lalangue.
Toutefois, il est trop tard pour vous. Vous êtes vue. Vous avez osé proposer aux autorités tunisiennes votre savoir-faire en matière de maintenance d'ordre, alors que l'ordre devait encore changer. C'était le 11 janvier 2011. Nous ne l'oublierons pas. Nous ne vous oublierons jamais. Nous ne vous avons pas entendu faire la même proposition aux autorités (aussi corrompues, d'ailleurs que celles de la Tunisie) égyptiennes. Qu'attendez-vous? Seriez-vous moins bleue depuis le 11 janvier? Pourtant, selon vos dires, le savoir-faire des forces de l'ordre françaises est mondialement, voire globalement reconnu.
Nous avons bien rigolé, madame la ministre, ce 11 janvier 2011, tout en apprenant que la France dispose jusqu'à présent, de forces de l'ordre. Ensuite, nous avons envoyé à notre cousin en Tunisie, un courriel pour lui dire de ne jamais accepter votre proposition. Le reste, la suite, fait partie de l'histoire.
Il faut rigoler et savoir jusque quand. N'est-ce pas, madame la ministre. Tout comme il faut savoir se taire avant de parler. Ou biffer ce qui ne convient pas.
Vous occupez bel et bien et depuis quelque temps le poste de ministre des Affaires étrangères en France. Si vous n'aviez pas fait votre intervention (voir infra), je ne l'aurais pas remarqué. Pour moi, c'est Kouchner et puis tout. Si d'un côté de la frontière linguistique dans mon pays vous êtes une verte, de l'autre côté vous êtes une bleue. Rien avoir avec écolo ni avec les républicains. Tout avec la langue, voire lalangue.
Toutefois, il est trop tard pour vous. Vous êtes vue. Vous avez osé proposer aux autorités tunisiennes votre savoir-faire en matière de maintenance d'ordre, alors que l'ordre devait encore changer. C'était le 11 janvier 2011. Nous ne l'oublierons pas. Nous ne vous oublierons jamais. Nous ne vous avons pas entendu faire la même proposition aux autorités (aussi corrompues, d'ailleurs que celles de la Tunisie) égyptiennes. Qu'attendez-vous? Seriez-vous moins bleue depuis le 11 janvier? Pourtant, selon vos dires, le savoir-faire des forces de l'ordre françaises est mondialement, voire globalement reconnu.
Nous avons bien rigolé, madame la ministre, ce 11 janvier 2011, tout en apprenant que la France dispose jusqu'à présent, de forces de l'ordre. Ensuite, nous avons envoyé à notre cousin en Tunisie, un courriel pour lui dire de ne jamais accepter votre proposition. Le reste, la suite, fait partie de l'histoire.
Il faut rigoler et savoir jusque quand. N'est-ce pas, madame la ministre. Tout comme il faut savoir se taire avant de parler. Ou biffer ce qui ne convient pas.
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